Nouvelles règles
association étudiante qui lutte contre la
précarité menstruelle et le tabou des règles.
Nouvelles règles
association étudiante qui lutte contre laprécarité menstruelle et le tabou des règles.
NOS ACTIONS

Distribution
Nous organisons des distributions de protections menstruelles dans toute la métropole lilloise, que cela soit dans des foyers de personnes en situation de précarité, à l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille, dans certains lycées et collèges et lors de maraudes.

collecte
Nous récupérons des protections menstruelles auprès du grand public, d’associations sportives ou encore auprès de Dons Solidaires et de Règles élémentaires. Nous achetons régulièrement des protections réutilisables.

sensibilisation
Un des axes les plus importants de nos actions : entre organisation de conférences, production d’un podcast, interventions dans les établissements scolaires et sensibilisation sur les réseaux sociaux, nous faisons notre maximum pour informer sur les menstruations et lutter contre la précarité menstruelle.
1,7 Million
de personnes en situation de précarité menstruelle en France (Source Ifop / Dons Solidaires 2019)
Comment nous aider ?

Devenir bénévole
Deviens acteur.ice de la lutte contre la précarité menstruelle, rejoins l’association pour participer aux actions et créer de nouveaux projets.

Faire un don
L’argent récolté sera utilisé pour financer les actions de l’association et notamment pour acheter des protections hygiéniques.

Média
L’association est née au sein de l’Ecole Supérieure de Journalisme. Elle a donc un lien particulier avec le monde journalistique. N’hésitez pas à nous contacter !
Notre podcast
Notre newsletter
NOS DERNIÈRES ACTUALITÉS
Précarité menstruelle étudiante : reportage à l’IUT de Tourcoing
À partir de septembre 2021, le Ministère de l’Enseignement supérieur a promis de déployer des distributeurs de protections hygiéniques dans tous les établissements universitaires. Cinq mois après, ont-ils été mis en place sur le campus tourquennois de l’Université de Lille ?
Les règles sont politiques
Elles sont désormais à la Une de certains journaux, sur le devant de la scène, affichées dans les rues et même débattues au Parlement. Elles ont une « odeur de marécage, de violettes fanées », d’après Simone de Beauvoir. Elles inspirent encore du dégoût, mais ne sont plus bleues dans les publicités. Certes, elles tachent, mais ne souillent pas. Elles provoquent parfois des cris de douleurs alors que ce ne sont pas des blessures. Est-ce que l’« on s’habitue », dixit la chanson d’Angèle, dès l’enfance aux « crampes au ventre » et à « l’humeur de merde » ? « Non non non, c’est important, ce que t’appelles les ragnagnas », répond Stromae, car les règles sont politiques.
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